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Catégorie : Histoire
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LES FRERES LASSERRE
Une nouvelle production disponible…




L’auteur, Jean-Albert Trouilhet (cliché Maurice Triep)





Journée du 12.12.2021 à CAPBIS


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AU NOM DE FEBUS!
Au nom de FEBUS!

FEBUS en 1361
La plus ancienne signature Febus conservée en original: une affaire financière. Monein, 20 novembre 1361 (Archives Départementales des Landes). Original papier. Mandement de Gaston, comte de Foix, vicomte de Béarn de Marsan et de Gabardan, au trésorier de Marsan, pour le paiement annuel d’une aumône aux frères mineurs de Mont-de-Marsan.
(source: Signé FEBUS, Comte de Foix, Prince de Béarn, Université de Pau, sous la direction de Véronique Lamazou-Duplan, 2014, page 99).
Transcription:
[…] Gaston per la graci de Diu comte de Foys, vescomte de Bearn, de Marsan, de Gabardan al nostre amat lo thesaurer de Marsan qui are es o sera per lo temps, salutz. Volem e vos manam que las somes que los frays menoos deu convent deu Mont de Marsan an costumat de prener sus la thesaurie de Marsan per rason de las aumosnes per nos e per nostre ostau a lor assignades, los paguetz viste la letre de l’an passat, e deu present e cascun an [e cascun an ajouté en interligne], sees tote trigue car pagades a lor retenen vert vos las presens e letre de quitance de la paga, nos volem que vos siesprees en conde e deduyt de vostre recepte. Dades a Monenh XX jours en novembre l’an de nostre senhor M CCCLXI. Ferm nos es del interlinh or ditz e cascun an dades cum dessus.
Febus
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HISTOIRE DU BEARN
L’EPOPEE DU BEARN
(Production IBG – enregistrement et diffusion
Radio La Voix du Béarn, La Bouts de Noùste, 95.10 FM)
Points de vente: double CD : 10E / clé USB : 12E
* Pau : Librairie Marrimpouey, 2 Place de la Libération, tel : 0559275211
* Gan : Super U,123 rue d’Ossau, tel : 0559216545
* Arudy : Librairie La Curieuse, 2 rue Carnot, tel : 0559069626
* Oloron : Espace Culturel Leclerc, Boulevard des Pyrénées, tel : 0559100161
* Orthez : Mercerie « A Jeanne d’Albret »,16 rue Aristide Briand, tel : 0559690570
* Garlin : Presse Eric Biau,11 rue Henri Cezeracq, tel : 0559049143
* Artix : Maison de la Presse Delgado,106 Place du Général de Gaulle; tel : 0559603391
* Nay : Tabac-Presse Dalier, 8 Allées Chanzy, tel : 0559611809
* Pontacq : Presse Didier Loubix, 4 Place Corps Franc Pommiès, tel : 0559536233
* Navarrenx : Tabac-Presse Jérôme Récapet, 78 rue Saint-Germain, tel : 0559665151
Envoi postal possible sans frais.
Paiement via PAYPAL sur le site IBG sur la Page accueil ou par chèque auprès de:
IBG – MJC du Laü – 81 avenue du Loup – 64000 PAU – Tél. : 06 22 11 67 43 – ibg.secretariat@orange.fr

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L’EPOPEE DANS LA PRESSE!
Une histoire du Béarn

Le Sillon du 12.03.2021
Sud-Ouest 18.02.2020
La République des Pyrénées 22.12.2020
Après les point de vente Presse Delgado (Artix), et Librairie Marrimpouey (Pau):
– Espace Culturel Leclerc, Boulevard des Pyrénées 64400 OLORON, Tel: 0559100161, ouvert tous les jours sauf le dimanche, de 9h à 18h
– Presse Récapet, 78 rue Saint-Germain, 64190 NAVARRENX, Tel: 0559665151, ouvert du lundi au samedi de 7h30 à 12h30 et de 14h30 à 18h, et le dimanche de 8h à12h30
Le point de vente suivant est à supprimer: – Arts et Délice, Place de la Cathédrale, 64400 Oloron.
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Gascons et Basques au Moyen-Âge
GASCONS ET BASQUES AU MOYEN ÂGE
Conséquence tardive de la défaite des Wisigoths (507), la Novempopulanie fut rattachée vers 530 au royaume des Francs . À la fin du VIe siècle survient un événement d’une portée considérable pour l’histoire de cet espace : l’arrivée des Vascons. Ces derniers sont des bascophones originaires de la Navarre et de l’Ouest de l’Aragon qui portent cette dénomination depuis l’Antiquité. Les Vascons sont pour la première fois mentionnés au Nord des Pyrénées en 587 par le chroniqueur franc Grégoire de Tours (+ 594) : « Les Vascons, dévalant de leurs montagnes, descendent dans la plaine, dévastant vignes et champs, incendiant les maisons, emmenant en captivité plusieurs personnes avec leurs troupeaux. A plusieurs reprises le duc [franc] Austrovald marcha contre eux, mais il ne tira d’eux qu’une vengeance insuffisante ». Les Vascons font régulièrement des expéditions punitives en Novempopulanie après 587 si bien qu’en 602 les rois francs Théodebert II et Thierry II mènent une armée contre eux et arrivent à leur imposer un duc nommé Génialis basé à Bordeaux. Des élites aquitano-romaines de Novempopulanie tels que les évêques d’Eauze, Palladius et son fils Sidoc, pactisèrent avec les Vascons et furent exilés en 626 suite aux accusations porté par Aighyna, le duc saxon de Bordeaux. Peu à peu les Vascons dominèrent militairement et politiquement la vaste région comprise entre les Pyrénées et la Garonne. Vers 630, la Novempopulanie change de nom pour devenir la Wasconia (Changement mentionné dans la Chronique franque dite de « Frédégaire »). La réalité de la domination vasconne en Novempopulanie nous est inconnue, mais le fait que les habitants de la Novempopulanie aient adopté si rapidement le nom de Wascones démontre sans doute qu’ils étaient proches culturellement, si ce n’est encore linguistiquement des Vascons, ce qui devait sûrement être le cas des habitants les plus méridionaux de l’ancienne Novempopulanie. Il faut se rappeler que les traces de la langue aquitaine (noms de divinité ou de personnes) que l’on trouve essentiellement sur des stèles trouvées en Comminges et en particulier à Saint-Bertrand-de-Comminges, ne peuvent être expliquées que par le basque moderne, ou bien elles ont un aspect « bascoïde ».
Un problème terminologique se pose au sujet de la signification de ce nouveau nom. Comment doit-on traduire les mots latins Wascones (ou Vascones) et Wasconia (ou Vasconia) ? Par Basques et Pays Basque ou par Gascons et Gascogne ? Il est en fait totalement impossible au haut Moyen-Age (VIIe-Xe siècle) de distinguer dans les sources des Basques et des Gascons. Il vaut mieux donc choisir comme beaucoup d’historiens l’ont fait les termes de Vascons et de Vasconie, véritables décalques du latin. La distinction entre Basques (le plus souvent écrit Basculi en latin) et Gascons (Vascones) n’est clairement faite dans les textes qu’à partir du XIe siècle. Des recherches récentes tendent à prouver que le gascon – du latin comportant des traces de basque – existait déjà au VIe siècle ap. J-C. Le témoignage de l’évêque Claude de Turin confirme bien qu’il existait des Vascones de langue latine au début du IXe siècle, soit ce que l’on peut appeler des Gascons. Au XIe siècle la limite linguistique entre le gascon et le basque suivait dans les grandes lignes celles des XIXe-XXe siècles même si quelques zones « frontalières » qui étaient gasconophones lors des deux derniers siècles (ex : Guiche et les alentours de la future bastide d’Hastingues, ou Biarritz-Anglet) devaient être alors bascophones. Dans l’état actuel de nos connaissances, il est absolument impossible de connaître et donc de décrire les modalités du passage du basque au gascon et la progression spatiale de ce dernier face au basque entre le VIe et le XIe siècle. Mais il y a lieu de penser qu’il exista un bilinguisme gascon/basque dans plusieurs régions et que des poches de basque ont survécu tardivement. Cela fut décrit dans un travail pour le Pallars (Catalogne) et la Chanson de Sainte-Foy écrite en Rouergue (Aveyron) au XIe siècle affirmait encore que les habitants du Val d’Aran étaient Basques (Bascons). Il ne faut pas oublier que le mot basque « aran » (basque standard actuel « haran ») veut dire tout simplement « vallée ».

Carte 1: la Vasconia (en violet) pendant l’empire romain et jusqu’au début du VIIe siècle ap. J.-C..
Il faut maintenant préciser ce que l’on entendait par Basques aux XIe et XIIe siècles. Les Vascones originaux provenaient essentiellement de la future Navarre et de l’ouest du futur Aragon, mais l’expansion en Novempopulanie (fin VIe – VIIe siècle) avait également étendu ce vocable aux habitants de cette dernière province. Un phénomène quelque peu parallèle à la perte du nom « aquitain » par les Aquitains originaux s’était ensuite passé dans la Vasconia originelle (Navarre et ouest de l’Aragon) : aux XIe et XIIe siècle les Vascons originaux avaient cessé d’employer le terme de « vascon » pour se désigner en tant que peuple. Désormais pour eux, les Vascons étaient le peuple qui habitait le duché de Vasconia outre-Pyrénées, soit le duché de Gascogne (IXe-XIe siècle). C’est ce qu’affirme l’historien basque Juan José Larrea dans sa monumentale thèse sur la Navarre du IVe au XIIe siècle : « Au Moyen Âge, et bien au-delà, aussi bascophones qu’ils soient pour la plupart, les Navarrais ne se considèrent cependant pas comme des Vascons-Basques. Basconeus ne se réfère qu’à la langue. Pour les Navarrais, les Basques, en tant que peuple, sont les gens d’outre-Pyrénées » (dans J. J. Larrea, La Navarre du IVe au XIIe siècle, Paris-Bruxelles, 1998, p 131).
C’est au sein de l’ensemble politique du duché de Wasconia que la différence de langue distingua les Gascons des Basques à partir du nom commun latin Wascones (ou Vascones) si bien que l’on différenciait au XIe siècle une Gasconia et une Basconia qui étaient toutes deux réunies au sein du duché-comté de Wasconia ou Vasconia. L’auteur poitevin du cinquième livre du Codex Calixtinus, improprement appelé de nos jours guide du pèlerin, plaçait le village de Saint-Michel sité tout près de Saint-Jean-Pied-de-Port) sur le « versant gascon » des Pyrénées bien qu’il faisait partie linguistiquement de la Basconia ou du tellus Basclorum. Cet auteur distinguait d’ailleurs, tout en reconnaissant qu’ils parlaient la même langue, les Basques situés au nord des Pyrénées, des Navarrais situés au sud.
Donc, aux XIe – XIIe siècles, les Basques en tant que peuple portant ce seul nom, étaient seulement constitués des populations bascophones appartenant à l’entité politique nommée duché de Vasconia, soit celles peuplant le Labourd, la future Basse-Navarre et la Soule. Juan-José Larrea l’explique ainsi : « Par ailleurs, si les habitants – ou les dirigeants – de la vieille Novempopulanie ont assez tôt au Moyen Âge et durablement assumé le titre de Vascons, c’est que, contrairement au sud des Pyrénées, une formation politique, le duché de Wasconia, a introduit le vieil ethnonyme dans le champ des réalités politiques et administratives : la différence est capitale ». (même étude, p 133).
Mais au niveau linguistique, tout le monde reconnaissait que ces Basques partageaient la langue basque avec la grande majorité des Navarrais qui habitaient au sud des Pyrénées. La distinction, commune dans les sources de l’époque, entre Basques et Navarrais provenait d’un phénomène politico-institutionnel et non d’un phénomène linguistico-culturel. Les Navarrais avaient perdu, semble-t-il, leurs noms originels de « Vascons » parce que leur entité politique fut désignée par eux comme « royaume de Pampelune » puis « royaume de Navarre » au milieu du XIIe siècle et jamais comme « royaume de Vasconie » ou « royaume des Vascons ». Le Guipuscoa, l’Alava et la Biscaye, bien qu’aussi peuplés de bascophones, connaissaient alors le même phénomène : ses habitants se désignaient avant tout comme Guipuscoans, Alavais et Biscayens. Il semble toutefois que les bascophones de ces régions étaient toujours désignés à l’occasion comme des Bascones, comme en 1085 ceux de la région située à l’ouest de Pampelune, mais cette dénomination ne concernait plus que les seuls locuteurs de basque (« Euskaldun » ou « Euskalduna » en basque moderne, selon la région) et non l’ensemble de la population. Ainsi Andere Auria Acenariz de la localité d’Olza (située à proximité de Pampelune) donna en 1085 à l’abbaye de Leyre (centre-est de la Navarre) une vigne « dans le lieu que les « Bascones » appellent Ygurai Mendico » (in loco quem Bascones vocant ygurai Mendico), (Voir Documentación medieval de Leire. Siglos IX a XII, éd. A. J. Martin Duque, Pampelune, 1983, document n°117).
Le Labourd et la Soule resteront attachés institutionnellement à la Gascogne jusqu’en 1789. Ce ne fut pas le cas de la région autour de Saint-Jean-Pied-de-Port et de Saint-Palais qui fut annexée au royaume de Navarre à l’extrême fin du XIIe siècle (à partir de 1189-1194) et au début du XIIIe siècle. En effet, Sancho VI de Navarre effectua cette annexion à la suite de l’absence de son gendre Richard Cœur de Lion en croisade en Terre-Sainte, grâce au mandat qui lui avait été donné de défendre la Gascogne contre les ennemis de Ricchard (Voir Herreros Lopetegui (S), Las tierras navarras de Ultrapuertos (siglos XII-XVI), Pampelune, 1996). Pourtant le roi de Navarre Charles II précisait encore en 1363 qu’il était allé en février 1362 « en Gascogne » quand il s’était rendu uniquement à Saint-Jean-Pied-de-Port. Le chroniqueur Pedro López de Ayala, originaire d’Alava, plaçait également cette dernière ville en Gascogne dans sa chronique sur Henri II de Castille (« una villa que es en comarca de Gascueña, que dicen Sant Juan del Pie del Puerto »).
Cette aire fut désignée régulièrement par les Navarrais en tant que tierra d’Ayllend Puertos (« terre d’au-delà les ports »), ce qui fut appelé surtout à partir du XVe siècle la tierra d’Ultra-Puertos (la terre d’Outre-Ports). Aux XVe et XVIe siècles les Navarrais qualifièrent cette même région du nom populaire de tierra de Bascos (ou de Vascos), en abrégé Bascos (attesté à partir de 1429), soit la « terre des Basques », expression également appliquée régulièrement par les Gascons dès la seconde moitié du XIVe siècle pour ce même espace groupé avec le Labourd et la Soule (terra de Bascos). Mais l’expression existait déjà en fait au XIIe siècle, puisque que l’on trouve le terme de tellus Basclorum soit « la terre des Basques » dans le Codex Calixtinus (Le Guide du Pèlerin) écrit avant 1134. Le nom de Basse-Navarre ne se substitua à celui de « terre d’Outre-Ports » qu’assez longtemps (première mention en 1577) après la conquête de la Navarre localisée au sud des Pyrénées par les troupes castillanes et aragonaises (1512), mais cette aire fut dénommée d’abord royaume de Navarra deça ports puisque vue dorénavant du Béarn et non de la Haute-Navarre.

CARTE 2: carte de la Gascogne au Moyen-Age
Pour terminer sur ce point, il faut remarquer que les Gascons se sont définis comme tels non pas uniquement à cause de leur langue (le gascon) mais aussi et surtout à cause de leur appartenance politique pluriséculaire au duché-comté de Vasconia. Cela nous montre que les faits politico-institutionnels primaient le plus souvent sur les faits linguistico-culturels pour engendrer l’identité d’un peuple médiéval. On comprend aussi que les Gascons et les Basques du Nord ont été longtemps unis politiquement, ont formé un seul peuple (gens en latin) nommé Vascones, avant de former deux peuples (les Gascons et les Bascons) distinct linguistiquement, mais associés au sein d’un même ensemble.
Guilhem Pépin, docteur en histoire de l’Université d’Oxford.
p.s. : cet article est disponible sur la page Facebook du Groupe Esprit Gascon
contact: esprit.gascon@gmail.com
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PÈY de JELIOTE CANTADOU

Pèy de Jeliote, badut à Lasseube en 1713, que-s mouribe à Estos en 1797, dus-cénts-bint-ans-a. Si parlen d’éth, qu’éy permou qu’abè ûe hère beroye bouts. Pay e may que-s en aperceboun e, tout yoén, que-u mandèn à û proufessou enta que poùsquẹ « puya » ta Paris. Que y estou (esté) bìstẹ counegut permou que cantabe las cansoûs deu Supra Despourrin. Més lou cantadou biarnés que puyè (puya) bìstẹ sus l’empoun de l’Opera oun tiengou lous ròllẹs màyẹs de coumpousitous celèbrẹs. Qu’ère debiengut lou « réy deus cantadous » e l’amic de gn-àutẹ réy, Louis XV medich qui l’embitabe à canta àyrẹs deu soû Biarn nadau. De 1733 à 1755 Jeliote que counegou la glòri més, fatigat per la bite de Paris, que se-n tournè (tourna) en Biarn.
Que-s dechè (decha) de quoan en quoan tenta per la capitale oun s’abè goardat ûs-quoàndẹs amics e ligams màyẹs. Qu’abém counegut despuch d’àutẹs Biarnés qui, coum éth, an caminat sus lous empouns de Paris, permou que y a de bères bouts per noùstẹ.
Més Jeliote qu’abè d’àutẹs taléns. La soûe reputacioû de galan qu’ère counegude e qu’ère plâ bist per las bères daunes de la Cour reyau. Prou enta ha yelous bèths àutes Biarnés qui disèn d’éth causes chic amistouses. Dap rasoû que l’aperèn prou bìste « diu deu goust ». Yamés û cantadou ne dé autan d’estrambord e n’estou autan agradat. N’ère pas toutû ço qui apèren û fièr gouyat…
Pas gran, qu’abè ûe care ourdenàri, bères machères roùyẹs plapades, tèste estréte, bouque grane, came-coupét, pè-tourcut… Més lous soûs oélhs passiounats qu’enhouliaben las granes daunes de la Cour e de la capitale. Que-s y parlè (parla) loungtéms de las soûes bounes fourtunes. E que parlen oéy encoère d’éth. Û bèth oustau d’Aulouroû qu’éy fièr deu soû noum. Si n’abou pas û bèth « plumage », qu’abou û beroy « ramage ». Aco que dìsẹn deus ausèths e toutû la bouts de Jeliote que hé (hasou) aunou au Biarn.
Û DE LAS CADIÈRES – 30/11/2017
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MOUNEDE BIARNESE

Ecu en or ECU D’OR de la Seigneurie de Béarn sous François Fébus (1479-1483).
AVERS: Ecu à deux vaches à gauche, accosté de deux épées et surmonté d’un globule.
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COLLOQUE ARAGON-BEARN
Aragon et Béarn, deux passés très liés
À l’initiative de la revue « Modèles linguistiques », avec la collaboration de l’Institut Béarnais et Gascon et du Cercle Historique de l’Arribère, un colloque a réuni pendant deux jours, les 17 et 18 juillet, à Navarrenx, des spécialistes qui étudient les liens entre les langues béarnaise, gasconne et aragonaise.
http://www.sudouest.fr/2015/07/25/aragon-et-bearn-deux-passes-tres-lies-2079173-4310.php
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Participants béarnais et aragonais Photo Sud-Ouest J. S. -
Les langues régionales en France
Les langues régionales en France aujourd’hui.

Langues de France (Insa-Lyon) France métropolitaine :
Basque, breton, catalan, corse, dialectes alémanique et francique (alsacien et francique mosellan), flamand occidental, franco-provençal, langues d’oïl (franc-comtois, wallon, champenois, picard, normand, gallo, poitevin-saintongeais, lorrain, bourguignon-morvandiau), occitan ou langue d’oc (gascon, languedocien, provençal, auvergnat, limousin, vivaro-alpin), parlers liguriens.
Source: ASSEMBLEE NATIONALE
Rapport n° 1703 déposé le 14 janvier 2014
http://www.assemblee-nationale.fr/14/rapports/r1703.asp#P476_67806
Etonnant que l’on cite les LANGUES D’OÏL au pluriel mais pas LES LANGUES D’OC au pluriel aussi!!!

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Quand le Béarn se disait gascon


